• L'année dernière nos premières tomates sont arrivées fin juillet, mais cette année, elles ont beaucoup de retard, nous sommes début septembre, nous allons bientôt en cueillir :

    8 septembre : enfin les premières tomates !

    8 septembre : enfin les premières tomates !

    C'est surtout la météo qui nous a joué des tours, avec deux épisodes de canicules, un fin juin, et l'autre fin juillet.

    Il a fait tellement chaud pendant ces quelques jours, que les trois séries de fleurs les plus basses ont été "grillées", et aucun fruit n'a pu se développer.

    Si on ajoute nos vacances où les plants de tomates ont manqué d'eau en notre absence, cela explique pourquoi nos tomates sont en retard.

    Nous allons encore attendre quelques jours avant de les cueillir, afin qu'elles mûrissent bien !

     


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  • Nous sommes en retard dans notre blog, mais depuis l'article du mois de mars, les tomates ont bien poussé dans leurs coquilles d’œufs et nous les avons repiquées dans de grand pots de fleurs en deux fois, le 12 mai et le 19 mai.

    Pour repiquer les plants, il nous a suffit d'écraser légèrement les coquilles et de les introduire dans des pots en terre. Comme cela les racines ne se retrouvent pas à l'air libre.

    Nous avons préparé les pots en s'inspirant des techniques de permaculture : dans le fond du pot, quelques petits morceaux d'écorces d'arbres, puis différentes couches en alternance de terre, de compost, de terreau de paille, d'épluchures fraîches.

    Dans chaque pot, nous avons installé une bouteille renversée avec un système goutte à goutte, permettant d'arroser très lentement et de façon continue.

    Voici une partie des plants le 25 mai :

    fin mai : repiquage des tomates

     


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  • Les semis que nous avons fait le 24 février dernier n'ont pas encore donné grand chose...

    En fait, nous avons fait deux petites erreurs : nous avons utilisé du compost venant du composteur de quartier, dans lequel se trouvait d'autres graines qui ont germé ; et avec l'entonnoir en papier, nous avons remis trop de mélange au dessus de chaque graine.

    Résultat : des tomates "sauvages" et d'autres graines ont poussé dans les œufs où nous avions semé des laitues, et à part une seule tomate cerise jaune, rien d'autre de ce que nous avons semé n'a poussé !

    17 mars : derniers semis d'hiver

     

    Pour bien réussir ses semis, il y a plusieurs règles importantes à respecter, dont ces deux-là : utiliser du terreau spécial semis, qui est garanti sans graine et sans parasite ; recouvrir la graine semée d'une épaisseur équivalente à la taille de la graine.

    Du coup, nous avons refait des semis en ce dimanche après-midi, en respectant bien ces règles. Dans 11 œufs, nous avons semé 3 graines de tomates Saint Pierre, 4 graines de tomates cerise jaune, et 4 laitues reine de mai (nous avons cassé un œuf lors du remplissage !)

    Et cette fois ci, dans une boîte d’œuf, sans œuf, nous avons également semé une dizaine de graines de laitue batavia, que nous laisserons dehors, tandis que nous rentrerons au chaud les tomates et les laitues reine de mai.

    17 mars : derniers semis d'hiver


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  • En ce dimanche de février où la température sur notre balcon a dépassé les 20 degrés, nous avons pris du plaisir à faire les semis d'hiver : tomates et laitues.

    Nous avons décidé de faire une expérience pour ces semis : depuis quelque temps lorsque nous avons cuisiné des œufs, nous les avons brisé de façon à ne casser que la partie supérieure et nous avons percé un petit trou en dessous, qui servira de drainage. Ainsi, après lavage, nous avons obtenu des petits pots biodégradables !

    24 février : une journée presque printanière

    A l'aide d'un entonnoir en papier, nous avons rempli ces petits pots au 2/3 d'un mélange de terre et de compost. Nous avons ensuite disposé une petite graine dans chaque pot, et nous avons remis encore du mélange terre/compost sur le dessus. Afin de ne pas abîmer les coquilles fragiles, nous les avons placées dans une boîte ... ... d'œufs évidemment !

    D'après certains sites que nous avons consultés, nombreux sont les avantages des coquilles d'œufs utilisées  comme petits pots de semis :

    • les coquilles sont biodégradables et fournissent de la nourriture au plantes (calcium et autres sels minéraux)
    • les coquilles sont gratuites et les réutiliser entre dans une démarche de zéro déchet
    • lors du repiquage des plants en pots plus grands ou en pleine terre, il suffit d'écraser la coquille pour que les racines puissent passer, et comme la racine reste dans la terre, elle ne subit pas le traumatisme du passage à l'air libre !
    • semer dans des coquilles d’œufs est une activité ludique que l'on peut facilement faire avec des enfants. D'ailleurs notre fils a très bien participé aujourd'hui !

    Nous avons semé 6 graines de laitue Reine de mai, 3 graines de tomates cerise poire jaune et 3 graines de tomates Saint Pierre. Pour bien repérer les différents semis dans les coquilles, notre fils a écrit au feutre les lettre L pour les laitues, TR et TJ respectivement pour les tomates rouge Saint Pierre et pour les tomates cerise jaune.

    24 février : une journée presque printanière

    Nous referons d'autres semis du même type dans les prochaine semaines.

     


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  • Très peu d'activités sur notre balcon depuis la mi-septembre...

    Comme prévu, nous avons poursuivi la récolte de tomates cerises, de fraises et de haricots, mais aussi quelques petits pois et une dizaine de feuilles de salade :

    Fin août, nous avons acheté au marché des petits pois frais, et parmi eux, se trouvaient des petits pois germés que nous avons semés dans une jardinière. Un mois et demi après, nous avons pu récolter une dizaine de petits pois !

    14 décembre : le bilan de l'automne

    En juin dernier, nous avions semé des laitues dans une demi jardinière. Pendant très longtemps, rien n'a poussé, puis courant septembre, quelques feuilles sont sorties !

     

    14 décembre : le bilan de l'automne

    Courant novembre, nous avons supprimé les plants de tomates cerises qui ne poussaient plus, et même qui commençaient à être mangés par des chenilles vertes. Cependant, nous avons gardé un plant qui avait des gourmands en bas de la tige principale. Nous souhaitons faire une expérience... voyons voir si ce plant passera l'hiver et se remettra à pousser au printemps...

    Fin novembre, nous avons remis en jardinière les bulbes de narcisses de l'année dernière.

    Avec le froid du mois de décembre, nous avons mis sous abri (un drap par dessus une structure en bois), toutes les plantes qui craignent les gelées hivernales, à savoir les géraniums et le pied de tomates. Espérons qu'elles passeront l'hiver sans encombre !

     

     


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